1/3 des français ont envie de changer de travail mais ont peur de se tromper *
Durant la crise sanitaire, de nombreux salariés en chômage partiel ont eu recours au bilan de compétences, ils avaient non seulement le temps mais avait besoin aussi de se projeter et de chercher le sens qu’ils avaient envie de donner à leur vie professionnelle. Clairement, ce constat ne s’est pas essoufflé et le bilan de compétences a le vent en poupe.
POURQUOI FAIRE UN BILAN DE COMPÉTENCES?
Le tsunami de la crise sanitaire a mis en lumière la souffrance au travail vécue par les français, souffrance liée à la perte de sens, à un management archaïque, à un parcours choisi par défaut, à un potentiel sous-exploité … et une accessibilité au bilan de compétences facilitée par l’achat direct sur son compte de formation.
N’en jetez plus, la coupe est pleine, longue vie au bilan de compétences.
On est ainsi passé de 535 000 dossiers CPF en 2019 à 1,05 million en 2020, puis 1,04 million entre janvier et juin 2021
Le bilan de compétences peut amener :
- à une reconversion professionnelle en s’engageant dans une formation diplômante.
- à s’engager dans une formation pour faire évoluer son métier
- à se former pour le plaisir
- à reprendre confiance en soi
- à prendre du recul sur la situation et à se motiver en regardant ce qui va bien plutôt que ce qui va mal
- à faire des ajustements dans l’équilibre de sa vie professionnelle et personnelle
- …
COMMENT FAIRE SON CHOIX?
Ana (qui est ma belle soeur mais je lui ai donné le prénom de ma grand-mère, c’est simple non?) a évolué dans son entreprise depuis 20 ans et occupe aujourd’hui un poste de direction, elle fait partie du CODIR mais s’ennuie depuis quelques années. Elle profite de son chômage partiel pour faire un bilan de compétences, y prend beaucoup de plaisir, apprend des choses sur elle même. Et par conséquent, elle se conforte dans le fait qu’elle est à la bonne place mais pourrait peut être ouvrir son horizon dans un autre secteur d’activité.
La confiance est revenue, ce confinement lui a fait du bien à la tête et au corps mais … elle ne bouge pas, ne cherche pas ailleurs.
Mais que diable arrive t’il à Ana?
Ana a peur, elle résiste, elle a des mécanismes auto-bloquants qui l’empêche de passer à l’action.
Fin de l’histoire pour Ana … mais pas pour moi … je décide donc de créer des bilans de compétences hybride ou j’allie le bilan de compétences et le coaching pour déprogrammer ces messages auto-bloquants.
Mon petit plus : j’ai aussi créé des bilans de compétences spécifiques adulte sur-efficient et hypersensible.
Si vous vous retrouvez dans l’histoire d’Ana, ce sont donc des bilans de compétences hybride qu’il faut choisir.
Merci ANA.
*Etude Chance-YouGov de Septembre 2020
